L’autre ami, le deuxième, a mis une fois sa main sur la mienne et me dit :
– Si l’on te tue, je me ferai tuer pour toi.
– Pour toi ou avec toi ?
– Pour toi- Et il ne mentait pas.
Le troisième ami, lorsque j’allais le voir, il devenait tout joyeux. Et moi aussi, j’étais joyeux. Nous étions joyeux tout le temps.
Leonardo Castellani. SJ
(*)Dédié à tous les enfants de chœur et aux amis de notre monastère.
