Le 1er février
1.
En Phrygie, commémoraison de saint Tryphon, martyr.
2. À Ravenne en
Flaminie, vers 389, saint Séverin, évêque.
3. Dans la cité du
Tricastin, dans la région de Vienne, sans doute au IVe siècle, saint Paul,
évêque, dont la ville a pris ensuite le nom.
4. À Kildare en
Irlande, l’an 523, sainte Brigitte, abbesse, qui aurait fondé un des
premiers monastères de l’île et poursuivi l’œuvre d’évangélisation commencée
par saint Patrice.
5*. À Aoste, dans
les Alpes Grées, au VIe siècle, saint Ours, prêtre.
6*. Dans le Velay,
au VIe ou VIIe siècle, saint Agrève, évêque du Puy dont l’apostolat s’étendit
jusqu’au Vivarais.
7*. À Metz, en
656, saint Sigisbert III, roi d’Austrasie, qui construisit les monastères de
Stavelot, Malmédy et beaucoup d’autres, et fit de larges aumônes aux églises et
aux pauvres.
8*. À Ciruelos en
Nouvelle Castille, l’an 1163, saint Raymond, abbé cistercien de Fitero,
dont il fut le fondateur avant de fonder l’Ordre de Calatrava, moitié militaire
moitié monastique. Il fut aussi un remarquable combattant de la chrétienté
contre le joug des Maures.
9*. Dans la ville
de Saint-Malo en Bretagne, l’an 1163, saint Jean, évêque. Admirable par
son austérité et sa justice, il transféra dans cette ville le siège épiscopal
d’Aleth, et saint Bernard le recommanda comme un évêque pauvre, ami des pauvres
et amoureux de la pauvreté.
10*.
À Paris, en 1220, le bienheureux Réginald d’Orléans, prêtre, qui
passant à Rome, fut saisi par la parole de saint Dominique et entra dans
l’Ordre des Prêcheurs, auquel il attira un grand nombre par l’exemple de ses
vertus et le feu de sa parole.
11*. Près de
Castel-Florentin en Toscane, vers 1242, la bienheureuse Véridienne, vierge, qui
vécut en recluse dans une cellule attenant à un oratoire, de sa jeunesse
jusqu’à sa vieillesse.
12*. À Piglio dans
le Latium, en 1302, le bienheureux André Conti, de la famille des comtes de
Segni, prêtre de l’Ordre des Mineurs, qui refusa toutes les hautes dignités,
préférant servir le Christ dans l’humilité et la simplicité.
13*. À Dublin, en
1612, les bienheureux martyrs Conor O’Devany, évêque de Down et Connor,
franciscain, et Patrick O’Lougham, prêtre, qui, sous le roi Jacques Ier, furent
condamnés à mort à cause de la foi catholique et subirent le supplice de la
pendaison.
14. À Londres, en
1645, saint Henri Morse, prêtre jésuite et martyr. Plusieurs fois arrêté, deux
fois envoyé en exil, il fut enfin, sous le roi Charles Ier, à cause de son
sacerdoce, enfermé en prison et, après y avoir célébré la messe, pendu à
Tyburn.
15*. À Avrillé,
près d’Angers, en 1794, la passion des bienheureuses Marie-Anne Vaillot et
quarante-six compagnes, martyres, victimes de la Terreur sous la Révolution
française, fusillées en raison de leur attachement à l’Église.
16. À Séoul en
Corée, l’an 1840, les saints martyrs Paul Hong Yong-ju, catéchiste, Jean
Yi Mun-u, qui s’occupait des pauvres et ensevelissait les corps des martyrs, et
Barbara Ch’ œ Yong-i, qui suivit les exemples de ses parents et de son mari mis
à mort pour le nom chrétien, tous les trois décapités.
17*. À Turin dans
le Piémont, en 1888, la bienheureuse Jeanne Françoise de la Visitation (Anne
Michelotti), vierge, qui fonda l’Institut des Petites Sœurs du Sacré-Cœur, en
vue du service gratuit des malades pauvres.
18*. À Cucuta en
Colombie, l’an 1923, le bienheureux Louis Variara, prêtre salésien, qui
mit tout en œuvre pour soigner les lépreux et fonda l’Institut des Sœurs Filles
des Saints Cœurs de Jésus et Marie.
**. À Caracas au
Vénézuéla, en 1940, la bienheureuse Candelaria de San José Paz Castillo
Ramirez, fondatrice de la congrégation des petites sœurs des pauvres d’Altagracia
de Orituco. (béatifiéé par Benoît XVI le 27 avril 2008) Décedée le 31 janvier,
fête le 1 février
Le 2 février
1.
Fête de la Présentation du Seigneur, que les Grecs appellent Hypapante,
la Rencontre. Quarante jours après sa Naissance, Jésus fut présenté au Temple
par Marie et Joseph ; selon les apparences, il accomplissait la Loi de
Moïse ; en réalité, il venait au devant de son peuple croyant et exultant,
lumière pour éclairer les nations païennes et gloire d’Israël son peuple.
2. À Orléans, vers
480, saint Floscule, évêque,
3. À Cantorbéry en
Angleterre, l’an 619, saint Laurent, évêque, qui reçut le gouvernement de
cette Église après saint Augustin, et la fit grandir considérablement en
convertissant le roi Edbald.
4. À Wurtzbourg en
Bavière, l’an 754, saint Burchard, évêque. Originaire d’Angleterre, il fut
ordonné par saint Boniface premier évêque de cette cité.
5*. À Florence en
Toscane, l’an 1348, le bienheureux Simon Fidati de Cascia, prêtre de
l’Ordre des Ermites de Saint- Augustin, qui, par sa parole et ses écrits, amena
un grand nombre de fidèles à une vie chrétienne meilleure.
6*. À Suse dans le
Piémont, l’an 1365, le bienheureux Pierre Cambiani de Ruffia, prêtre de
l’Ordre des Prêcheurs et martyr, massacré dans le cloître des franciscains par
des dissidents, en haine de l’Église.
7. À Prato en
Toscane, l’an 1590, sainte Catherine de Ricci, vierge du Tiers-Ordre
régulier de Saint Dominique, qui mit tout son cœur à l’œuvre de restauration
religieuse et s’appliqua à honorer sans relâche les mystères de la passion de
Jésus Christ, qu’elle mérita même d’éprouver.
8. À Bordeaux, en
1640, sainte Jeanne de Lestonnac. Jeune fille, elle repoussa les invitations et
les tentatives de sa mère pour qu’elle quitte l’Église catholique ; après
la mort de son mari, elle veilla avec sagesse à l’éducation de ses cinq
enfants, puis fonda la Compagnie des Filles de Notre-Dame sur le modèle de la
Compagnie de Jésus, pour favoriser l’éducation chrétienne des jeunes filles.
9*. À Rome, en
1640, le bienheureux Nicolas Saggio des Lombards, religieux de l’Ordre des
Minimes, qui remplit humblement et saintement la fonction de portier de son
couvent.
10*. À Gennazzano
dans le Latium, en 1840, le bienheureux Étienne Bellesini, prêtre de l’Ordre de
Saint-Augustin. En des temps calamiteux, il resta fidèle à son Ordre supprimé
par décret impérial, et se dévoua à l’éducation des enfants, à la prédication
et au ministère pastoral.
11. À Hanoï au
Tonkin, en 1861, saint Jean-Théophane Vénard, prêtre de la Société des Missions
étrangères de Paris et martyr. Après six années de ministère clandestin
marquées par les fatigues et les angoisses, il fut dénoncé par un traître et,
comme il refusait de piétiner la croix, il fut enfermé dans une cage et, d’un
cœur joyeux, alla au devant de son supplice, sous l’empereur Tu Duc.
12*. À Dernach en
Rhénanie, l’an 1898, la bienheureuse Marie-Catherine Kasper, vierge, qui
fonda l’Institut des Pauvres servantes de Jésus Christ, pour être au service du
Seigneur dans les pauvres.
13*. À Milan,
l’an 1921, le bienheureux André-Charles Ferrari, évêque, qui cultiva avec
soin la tradition religieuse de son peuple et ouvrit de nouvelles voies pour
faire connaître au monde le Christ et la charité de l’Église.
14*. À Vérone en
Vénétie, l’an 1934, la bienheureuse Marie-Dominique Mantovani, vierge, qui
fonda, en union avec le bienheureux Joseph Nascimbeni, l’Institut des Petites
Sœurs de la Sainte Famille ; elle en fut la première supérieure, au
service des pauvres, des orphelins et des malades, dans une vie humble, pour
l’amour du Christ.
Le 3 février

- Mémoire de saint Blaise, évêque de Sébaste en Arménie et martyr, qui souffrit pour le nom chrétien. La tradition place son martyre sous l’empereur Licinius, vers 320.
2. Mémoire de saint Anschaire, évêque de Hambourg, puis en même temps de Brême en Saxe. D’abord moine de Corbie, il fut envoyé par le pape Grégoire IV comme légat pour toute l’Europe du Nord. Il annonça l’Évangile à une multitude de peuples au Danemark et en Suède et y établit l’Église du Christ, malgré bien des difficultés qu’il surmonta de grand cœur, jusqu’à ce que, épuisé par ses travaux, il trouve le repos à Brême, en 865.
3. À Jérusalem, commémoraison des saints Syméon et Anne, l’un, vieillard juste et religieux, l’autre, veuve et prophète. Alors que Jésus enfant était présenté au Temple par ses parents, ils saluèrent en lui le Messie Sauveur, l’espérance bienheureuse et la rédemption d’Israël.
4. À Carthage, en 280, saint Célerin, lecteur et martyr. Détenu en prison, subissant les entraves, les fers et divers tourments, il fut un confesseur invincible du Christ, frayant aux autres le chemin de la victoire et suivant les traces de son aïeule Célerine, couronnée déjà du martyre, de Laurent, son oncle paternel et d’Ignace, son oncle maternel, qui autrefois furent dans les camps de l’armée puis, devenus vrais soldats de Dieu, méritèrent par leur glorieuse passion les palmes et les couronnes du Seigneur.
5*. À Poitiers, au IVe siècle, saint Lienne, prêtre, dont la tradition fait un disciple de saint Hilaire.
6. À Gap en Provence, les saints Tigris et Remèze, évêques.
7. À Lyon, au Ve siècle, saint Lupicin, évêque, à l’époque de la persécution des Vandales.
8*. Au monastère de Celles dans le Hainaut, vers 700, saint Adelin, prêtre et abbé.
9*. À Threckingham dans le royaume de Mercie en Angleterre, vers 700, le trépas de sainte Werburge, abbesse d’Ely, qui fonda ou restaura plusieurs autres monastères, dont celui où elle mourut. Selon son désir, elle fut inhumée à Hanbury.
10*. À Merbeck dans le Brabant, vers 700, sainte Berlinde, vierge, qui mena dans cette ville une vie de pauvreté et de charité.
11*. Au monastère cistercien de Froidmont dans le Beauvaisis, commémoraison du bienheureux Hélinand, moine. Jadis célèbre citharède dans les cours princières, il choisit ensuite la vie humble et cachée du cloître et mourut vers 1237.
12*. À Londres, en 1578, le bienheureux Jean Nelson, prêtre de la Compagnie de Jésus et martyr. Parce qu’il refusait de prêter le serment de suprématie de la reine Élisabeth Iére dans le domaine religieux, il fut condamné à mort et pendu à Tyburn.
13. À Lyon, en 1837, sainte Claudine Thévenet (Marie de Saint-Ignace), vierge. Poussée par la charité et animée d’un grand cœur, elle fonda la Congrégation des Sœurs de Jésus et Marie, pour la formation chrétienne des jeunes, surtout des pauvres.
14*. À Bourg-Saint-Andéol dans le Vivarais, en 1838, la bienheureuse Marie-Anne Rivier, vierge. À l’époque de la Révolution française, qui avait supprimé tous les Ordres religieux et Congrégations, elle n’hésita pas à fonder la Congrégation des Sœurs de la Présentation de Marie pour instruire dans la foi le peuple chrétien.
15*. À Steyl en Hollande, l’an 1900, la bienheureuse Marie-Hélène Stollenwerk, vierge, qui participa avec le bienheureux Arnold Janssen à la fondation de la Congrégation des Missionnaires Servantes du Saint-Esprit et, quand elle fut déposée de sa charge de supérieure générale, elle se consacra à l’adoration perpétuelle.
** En Allemagne de l’Est, en 1943 le bienheureux Alojs Andritzki, prêtre, Martyr mort au camp de concentration de Dachau (béatifié le 13 juin 2011 par Benoît XVI)
Le 4 février
1.
À Rome, à la catacombe de la voie Appienne, vers 304, saint Eutyque,
martyr. Comme le rappelle le pape saint Damase, il fut mis dans un cachot
obscur, jeté sur des tessons de tuiles, privé de sommeil et de nourriture,
enfin décapité et projeté sanglant dans un gouffre ; pour le Christ, il
vainquit tous les ordres cruels du tyran.
2. À Pergé en
Pamphylie, vers 250, les saints martyrs Papias, Diodore et Claudien.
3. À Alexandrie,
vers 308, la passion des saints martyrs Philéas, évêque de Thmuis, et
Philorome, tribun militaire. Durant la persécution de Dioclétien, des parents
et des amis ne purent les déterminer à s’épargner eux-mêmes ; tous deux
livrèrent leur tête au bourreau et méritèrent de recevoir du Seigneur les
palmes des vainqueurs.
4. À Péluse,
également en Égypte, vers 449, saint Isidore, prêtre. Remarquable par sa
doctrine, méprisant le monde et ses richesses, il préféra revêtir l’habit
monastique et imiter dans le désert la vie de saint Jean Baptiste.
5*. À Chartres,
vers 528, saint Aventin, évêque, qui céda son siège à son frère saint Solenne
pour se retirer à Châteaudun et le reprit après la mort de son frère.
6. À Troyes, vers
537, saint Aventin, prêtre, que l’on tient pour un disciple de l’évêque saint
Loup.
7. À Mayence en
Franconie, l’an 856, saint Raban, surnommé Maur, évêque. Il était moine de
Fulda quand il fut élu au siège de Mayence. Vraiment instruit en science, d’une
éloquence aisée, pontife agréable à Dieu, jamais il ne négligea rien qu’il pût
faire pour la gloire de Dieu.
8*. À
Constantinople, en 868, saint Nicolas Studite, moine, souvent envoyé en exil à
cause du culte des saintes images ; devenu enfin supérieur du monastère de
Studion, il mourut en paix.
9. À Sempringham
en Angleterre, l’an 1190, saint Gilbert, prêtre. Il fonda, avec
l’approbation du pape Eugène III, un Ordre monastique double, où il imposa une
double discipline de vie : la Règle de saint Benoît pour les moniales, et
celle de saint Augustin pour les clercs.
10. À Bourges, en
1505, sainte Jeanne de Valois, qui fut reine de France, mais son mariage avec
le roi Louis XII ayant été déclaré nul, elle trouva en Dieu son refuge, se
retira à Bourges, montra une piété toute particulière pour la Croix et fonda
l’Ordre des Annonciades en l’honneur de l’Annonciation de Notre-Dame.
11*. À Durham en Angleterre, l’an 1594,
le bienheureux Jean Speed, martyr. Sous la reine Élisabeth Ière, à cause de
l’aide qu’il avait apporté à des prêtres, il fut condamné à mort et pendu au
gibet.
12. À Amatrice
dans les Abruzzes, en 1612, saint Joseph de Leonessa, prêtre de l’Ordre des
Mineurs Capucins. Il soigna à Constantinople les chrétiens captifs des Turcs et
son zèle le poussa à tenter d’entrer dans le palais pour prêcher l’Évangile au
Sultan lui-même. Arrêté aussitôt, il fut suspendu à une croix par un pied et un
bras. Banni ensuite par le Sultan et rentré dans sa patrie, il se consacra aux
missions et au soin des pauvres.
13. À Oriur dans
le royaume de Maravesi en Inde, l’an 1693, saint Jean de Brito, prêtre de
la Compagnie de Jésus et martyr. Imitant le mode de vie et l’habillement des
ascètes du pays, il convertit beaucoup à la foi chrétienne, mais arrêté et
condamné à mort, il reçut la couronne d’un glorieux martyre.
Le 5 février

1.Mémoire de sainte Agathe, vierge et martyre. À Catane en Sicile, encore jeune fille, quand sévit la persécution de Dèce, vers 250, elle conserva son corps pur et sa foi intacte dans le martyre, offrant au Christ Seigneur le témoignage de sa vie.
2. Commémoraison d’un grand nombre de martyrs dans la province du Pont durant la persécution de l’empereur Maximien, vers 311 : les uns furent arrosés de plomb fondu, les autres eurent des roseaux aigus enfoncés sous les ongles et furent soumis à de nombreux et horribles tourments plusieurs fois répétés. Tous méritèrent par un glorieux combat de recevoir du Seigneur des palmes et des couronnes.
3. À Vienne dans la région lyonnaise, en 525, saint Avit, évêque qui succéda à son père saint Hésychius. Grâce à sa foi et à son zèle, au temps du roi Gondebaud, la Gaule fut protégée des ravages de l’hérésie arienne.
4. À Seben en Rhétie, vers 605, saint Génuin, qui fut le premier évêque de ce siège.
5*. En Lucanie, l’an 995, saint Luc, abbé, qui mena la vie monastique sous la Règle de saint Basile d’abord en Sicile sa patrie, puis en divers endroits à cause des incursions des Sarrasins, enfin au monastère de Carbona qu’il construisit près d’Armentum et où il mourut.
6*. À Rome, au monastère de Saint-Césaire, en 995, saint Sabas le jeune, moine, qui, avec son frère saint Macaire, diffusa sans se lasser la vie cénobitique à travers la Calabre et la Lucanie, à l’époque où les Sarrasins dévastaient ces régions.
7. À Brixen dans le Tyrol, commémoraison de saint Albuin, évêque, qui transféra la chaire épiscopale de Seben dans cette ville et mourut en 1005 ou 1006.
8*. À Cologne en Germanie, vers 1025, sainte Adélaïde, première abbesse du monastère de Villich près de Bonn, où elle introduisit la règle de saint Benoît, puis aussi du monastère de Sainte-Marie de Cologne, où elle mourut.
9. À Nagasaki au Japon, en 1597, la passion de saint Paul Miki et vingt-cinq compagnons, dont la mémoire sera célébrée le lendemain.
10*. À Laval, en 1794, la bienheureuse Françoise Mézière, vierge et martyre. Occupée à l’éducation des enfants et aux soins des malades, sous la Révolution française, elle fut arrêtée et guillotinée en haine de la foi.
11*. À Rome, en 1825, la bienheureuse Élisabeth Canori Mora, mère de famille, qui supporta avec patience les tromperies et la violence de son mari, les soucis d’argent, l’animosité cruelle de ses proches. Tertiaire de l’Ordre des Trinitaires, elle offrit sa vie au Seigneur pour la conversion de son mari, le salut des pécheurs, la paix et la sainteté de l’Église.
12. À Valtiervilla au Mexique, en 1928, saint Jésus Mendez, prêtre et martyr, qui, dans la persécution antireligieuse en ce pays, fut fusillé, donnant sa vie pour le Christ Roi.
Le 6 février

1.
Mémoire de saint Paul Miki et de ses compagnons, martyrs à Nagasaki, en
1597. Quand la persécution contre les chrétiens s’aggrava au Japon, huit
prêtres ou religieux de la Compagnie de Jésus ou de l’Ordre des Mineurs, soit
envoyés depuis l’Europe, soit nés au Japon, et dix-sept laïcs furent arrêtés,
soumis à des moqueries pénibles et condamnés à mort. Tous, même les enfants,
furent mis en croix ensemble, joyeux qu’il leur ait été donné de mourir de la
même manière que le Christ. (En Belgique, la mémoire est renvoyée au
lendemain).
2. Chez les
Arvernes, au IIIe siècle, saint Antolien, martyr.
3. Commémoraison
de saint Silvain, évêque d’Émèse en Syrie et martyr. Après avoir dirigé cette
Église pendant quarante ans, il fut, sous l’empereur Galère, vers 211, jeté aux
bêtes avec le diacre Luc et le lecteur Mocius, et reçut ainsi la palme du
martyre.
4. À Césarée de
Cappadoce, les saints martyrs Dorothée, vierge, et Théophile, avocat.
5. À Ardagh en Irlande, à la fin du Ve siècle,
saint Mel, évêque.
6. À Arras, en
540, saint Vaast (Gaston), évêque. Prêtre de Toul, il catéchisa le roi Clovis,
fut envoyé par saint Remi comme évêque à Arras, où il restaura cette Église
ruinée après l’invasion d’Attila, la gouverna pendant une quarantaine d’années
et poursuivit l’œuvre d’évangélisation des peuples encore païens de la
région.
7. À Elnone sur la
Scarpe, qui prit ensuite son nom (Saint-Amand-les-Eaux), en 675 ou 676, la mise
au tombeau de saint Amand, évêque. De l’île d’Yeu où il fut moine, il partit
annoncer la parole de Dieu en Gaule Belgique. Il fut attaché au siège de
Maastricht, mais, après trois ans, préféra rester évêque missionnaire, fondant
des communautés et des monastères pour être des centres de rayonnement
chrétien. Il acheva sa vie dans l’abbaye qu’il avait fondée et où il s’était
retiré.
8. Au pays de
Tongres dans le Brabant, au VIIIe siècle, sainte Renule ou Renilde, abbesse du
monastère d’Eiken.
9. À Palestrina
dans le Latium, en 1159, saint Guérin, évêque, célèbre par l’austérité de sa
vie et son amour des pauvres.
10*. À Skara en
Suède, l’an 1319, saint Brinolf Algotsson, évêque, remarquable par son
activité pour l’Église et par sa science.
11*. À Agri, près
de Salerne en Campanie, l’an 1910, le bienheureux Alphonse-Marie Fusco,
prêtre. Adonné au ministère près des paysans, il s’employa sans trêve à la
formation des jeunes, surtout des pauvres et des orphelins, et fonda la
Congrégation des Sœurs de Saint-Jean-Baptiste.
12*. À Naples en
Campanie, en 1327, le bienheureux Ange de Furci, prêtre de l’Ordre des Ermites
de Saint-Augustin, ardent de zèle pour le règne de Dieu.
13*. À Rivolta
d’Adda près de Crémone en Lombardie, l’an 1913, le bienheureux François
Spinelli, prêtre, qui, au milieu de contrariétés et de difficultés, longtemps
et patiemment supportées, fonda et dirigea une Congrégation de Sœurs pour
l’adoration du Saint-Sacrement.
14. À Durango au
Mexique, en 1927, saint Matthieu Correa, prêtre et martyr. Quand sévit la
persécution contre l’Église, sommé de révéler des secrets entendus en
confession, il refusa et fut pour cela fusillé devant le cimetière.
** En Allemagne, en
1905, la bienheureuse Maria Theresia Bonzel, (Regina Christine Wilhelmine
Bonzel), religieuse fondatrice des Pauvres sœurs franciscaines de l’Adoration
perpétuelle d’Olpe. (Béatifiée le 10 novembre 2013 par le pape François)
Le 7 février
1.
À Nole en Campanie, au IIIe siècle, saint Maxime, évêque, qui dirigeait
l’Église de cette ville à l’époque de la persécution et mourut dans un âge
avancé.
2*. À Lampsaque
dans l’Hellespont, au IVe siècle, saint Parthène, évêque, qui, rapporte-t-on,
propagea la foi, à l’époque de Constantin, par sa prédication et l’exemple de
sa vie.
3. Dans la région
du mont Sinaï, vers 389, saint Moïse, qui vécut d’abord en solitaire dans le
désert, puis ordonné évêque à la demande de Mauvia, reine des Sarrasins, amena
à la paix un peuple extrêmement violent et garda intacte la foi des
chrétiens.
4. À Florence en
Étrurie, au IVe siècle, sainte Julienne, veuve.
5*. À Siponto en
Apulie, vers 545, saint Laurent, évêque.
6. À Lucques en
Toscane, vers 720, la mise au tombeau de saint Richard, père des saints
Winebald, Willibald et Walburge, qui, s’en allant d’Angleterre en pèlerinage à
Rome avec ses fils, mourut en route dans cette ville.
7*. À Sotérion en
Phocide, l’an 945, saint Luc le Jeune, ermite.
8*. À Mucia dans
les Marches, en 1236, le bienheureux Rizzier, qui fut un des premiers et l’un
des plus chers disciples de saint François.
9*. À Assise en
Ombrie, en 1461, le bienheureux Antoine de Stroncone, religieux
franciscain.
10*. À Londres, en
1578, le bienheureux Thomas Sherwood, martyr. Marchand drapier, il se destinait
au sacerdoce lorsqu’il revint à Londres pour assister son père malade et âgé.
Il fut dénoncé, arrêté dans la rue et condamné pour haute trahison, parce qu’il
regardait le reine Élisabeth Ière comme excommuniée, et fut pendu à
Tyburn.
11*. À Aubenas
dans le Vivarais, en 1593, les bienheureux martyrs Jacques Salès, prêtre, et
Guillaume Saultemouche, tous les deux religieux de la Compagnie de Jésus. Par
leur prédication ils affermissaient le peuple dans la foi catholique, mais
après la prise de la ville par les dissidents en armes, ils furent tués un
dimanche devant la foule pour la même foi. 1
12. À Naples, en
1812, saint Gilles-Marie de Saint-Joseph (Joseph Pontillo), religieux
franciscain, qui tous les jours dans les rues de la cité mendiait l’aumône très
humblement et en échange donnait des paroles de consolation.
13. À Changsha
dans la province chinoise du Hunan, en 1816, saint Jean de Triora
(François-Marie Lantrua), prêtre franciscain et martyr, qui, après des sévices
prolongés dans une prison rigoureuse, mourut étranglé.
14*. À Paris, en
1856, la bienheureuse Rosalie (Jeanne-Marie Rendu), vierge. Fille de la
Charité, elle établit dans une maison d’un faubourg misérable de la ville un
refuge pour les indigents et mit tout son zèle à visiter les pauvres chez eux,
à mettre la paix durant les guerres civiles, et à entraîner un grand nombre,
surtout des jeunes et des riches, à exercer la charité.
15*. À Paris, en
1871, la bienheureuse Marie de la Providence (Eugénie Smet), vierge, qui fonda
la Congrégation des Auxiliatrices du Purgatoire, dans une totale confiance en
la Providence.
16*. À Rome, près
de saint Laurent, en 1878, le bienheureux Pie IX, pape, qui proclama hautement
la vérité du Christ, à laquelle il était attaché de tout son cœur, établit de
nombreux sièges épiscopaux, promut le culte de la bienheureuse Vierge Marie et
convoqua le premier Concile œcuménique du Vatican.
17*. À Pont de
Molins près de Girone en Espagne, l’an 1936, les bienheureux martyrs,
Anselme Polanco, évêque de Teruel, et Philippe Ripoll, prêtre, qui dans la
persécution religieuse au cours de la guerre civile espagnole, méprisèrent les
flatteries et les menaces et ne fléchirent en rien de leur fidélité à l’Église,
jusqu’à la mort.
18*. Au camp de
concentration d’Auschwitz (Oswiecim), près de Cracovie en Pologne,
l’an 1942, le bienheureux Adalbert Nierychlewski, prêtre de la
Congrégation de Saint-Michel et martyr. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il
fut déporté par le régime nazi à cause de la foi du Christ et succomba à la
suite des tourments endurés.
19*. Au camp de
travaux forcés d’Angarsk, près de Krasnoiarsk en Sibérie, l’an 1955, le
bienheureux Pierre Verhun, prêtre et martyr, qui mourut en déportation durant
la période de persécution soviétique contre la religion.
** En Italie, en
1893, la bienheureuse Anna Maria Adorni veuve, fondatrice des servantes de
l’immaculée et de l’institut du Bon Pasteur (béatifiée le 3 octobre 2010 par
Benoît XVI)
Le 8 février

1.
Mémoire de saint Jérôme Émilien. Après une jeunesse violente et
dissolue, il fut capturé par l’ennemi et, détenu en prison se convertit à Dieu,
puis se livra tout entier, avec des compagnons qu’il avait rassemblés, à
soulager tous ceux qui étaient tombés dans la misère, en particulier les
orphelins et les malades, ce qui fut le point de départ de la Congrégation des
Clercs réguliers de Somasque. Atteint de la peste en soignant les pestiférés,
il mourut à Somasque, près de Bergame en Lombardie, en 1537.
2 Mémoire de sainte
Joséphine Bakhita, vierge. Née au Soudan dans la région de Darfur, elle fut
enlevée toute jeune, vendue plusieurs fois à des marchands d’esclaves africains
et subit une servitude cruelle. Enfin libérée, elle devint chrétienne puis religieuse
à Venise chez les Filles de la Charité, passa le reste de sa vie dans le Christ
à Schio, au pays de Vicence, en subvenant aux besoins de tous, et mourut en
1947.
3. Commémoraison
de sainte Coïnte, martyre à Alexandrie. La dernière année de l’empereur
Philippe, en 249, les païens la conduisirent vers le temple des idoles et
l’obligèrent à adorer. Elle se détourna et manifesta son dégoût. Ils la lièrent
alors par les pieds et la traînèrent par toute la ville sur le rude pavé et la
mirent en pièces par cet horrible supplice.
4. À Ticinum
[Pavie] en Ligurie, l’an 397, saint Juvence, évêque, qui travailla avec
vigueur à la prédication de l’Évangile.
5. Commémoraison
des saints martyrs, moines du monastère de Die à Constantinople. On les trouva
porteurs des lettres du pape saint Félix III contre Acace et on les mit
cruellement à mort pour la défense de la foi catholique, vers 485.
6*. En Bretagne,
au VIe siècle, saint Jacut, abbé. Tenu pour le frère des saints Guénolé et Guéthenoc,
il construisit un monastère au bord de la mer, qui prit ensuite son nom.
7. À Milan, vers
570, la mise au tombeau de saint Honorat, évêque. Devant l’imminence de
l’arrivée des Lombards, il se réfugia à Gênes avec une grande partie de la population.
8*. À Besançon en
Bourgogne, au VIIe siècle, saint Nizier, évêque.
9. À Verdun, vers 647, saint Paul, évêque.
Après un séjour à la cour du roi des Francs, il se fit moine, puis placé à la
tête de l’Église de Verdun, il promut la dignité du culte divin et la vie
régulière des chanoines.
10*. À Albano dans
le Latium, en 1089, le bienheureux Pierre, surnommé Igné, parce qu’il passa
indemne à travers les flammes. Moine de Vallombreuse, il se soumit à l’épreuve
du feu et, devenu bientôt évêque d’Albano, il s’employa sans relâche à
restaurer la discipline ecclésiastique.
11. À Muret dans
le Limousin, en 1124, saint Étienne, abbé, fondateur de l’Ordre de Grandmont,
où il confia aux clercs la louange divine et la contemplation, et aux seuls
frères laïcs le temporel à gérer non par domination, mais par charité.
12*. À Savone en
Ligurie, l’an 1906, la bienheureuse Joséphine-Gabrielle Bonino, vierge,
qui, à la lumière de la Sainte Famille de Nazareth fonda une Congrégation
religieuse pour l’éducation des orphelins et l’assistance des malades
pauvres.
** En Italie, en
1983, la bienheureuse Madre Speranza di Gesù, “apôtre de l’amour
miséricordieux de Jésus”, religieuse chez les Clarétines, elle fonde
à Madrid, en 1930, les Servantes de l’Amour miséricordieux et à Rome, en
1951, les Fils de l’Amour miséricordieux. Grande mystique, elle était favorisée
d’extases , et elle portait dans son corps les stigmates de la Passion du
Christ (béatifiée le 31 mai 2014 par le pape François)
Le 9 février
1.
Commémoraison de sainte Apolline, vierge et martyre à Alexandrie. Au
témoignage de l’évêque saint Denis, la dernière année de l’empereur Philippe,
en 249, dans une émeute, les païens se saisirent d’elle, lui firent tomber
toutes les dents en lui frappant les mâchoires, puis menacèrent de la jeter
vivante dans un bûcher si elle ne prononçait pas avec eux des formules impies.
Elle délibéra un moment en elle-même, puis, offrant sa vie en sacrifice, elle
s’élança dans le feu, plus prompte à affronter la mort que ses persécuteurs à
préparer le supplice.
2. Commémoraison
de beaucoup de saints martyrs, qui furent massacrés à Alexandrie par les
ariens, alors qu’ils étaient assemblés pour la liturgie dans l’église de Saint-Théonas,
vers 375.
3. Commémoraison
des saints Prime et Donat, diacres et martyrs, qui, à Lémelé en Afrique,
s’étaient enfermés dans l’église pour protéger l’autel et furent mis à mort par
des donatistes, vers 361.
4. Sur la montagne
près d’Apamée en Syrie, vers 423, saint Maron, ermite, qui se donna de tout son
cœur à une pénitence et une vie intérieure profonde. Sur sa tombe fut construit
un monastère célèbre, d’où tire son origine la nation qui plus tard portera son
nom.
5*. Au monastère
de Llandaff au pays de Galles, en 560, saint Téliau, évêque et abbé, dont de
nombreuses églises aussi bien en Galles qu’en Cornouailles et en Armorique
célèbrent les éminents travaux.
6. À Canossa en
Apulie, vers 566, saint Sabin, évêque, qui fut ami de saint Benoît et envoyé à
Constantinople comme légat par le pape saint Agapit pour défendre la foi
orthodoxe contre l’hérésie monophysite.
7. À Hautmont sur
la Sambre, dans le Hainaut, vers 695, le trépas de saint Ansbert, qui fut abbé
de Fontenelle puis évêque de Rouen et mourut relégué en exil par le maire du
palais Pépin d’Héristal.
8*. En Bavière,
commémoraison de saint Alton, abbé, au VIIIe siècle. Irlandais d’origine, il
construisit dans la forêt de cette région un monastère, qui prit ensuite son
nom.
9*. À Nocera en
Ombrie, l’an 1222, saint Rainald, évêque, qui fut moine camaldule à
Font-Avellane et, devenu évêque, retint avec ténacité son genre de vie
monastique.
10*. À Premia de
Mar, près de Barcelone en Catalogne, l’an 1910, saint Michel (François
Febres Cordero), frère des Écoles chrétiennes, qui promut l’étude des lettres
pendant près de quarante ans à Cuenca en Équateur, et, retiré en Espagne,
s’appliqua avec simplicité à la parfaite observance de la Règle.
** A Grenade, en
Espagne, en 1956, le bienheureux Leopoldo Marquez Sanchez d’Alpandeire,
religieux de l’Ordre des Capucins. (béatifié le 12 septembre 2010 par Benoît
XVI)
Le 10 février

1. Mémoire de sainte Scholastique, vierge. Sœur de saint Benoît, consacrée à Dieu dès son enfance, elle eut en Dieu un seul cœur avec son frère, au point qu’une fois par an ils passaient ensemble toute une journée en louange de Dieu et en saints entretiens. Vers 547 elle fut, en ce jour, mise au tombeau que saint Benoît avait préparé pour lui-même au Mont-Cassin.
2*. À Magnésie dans la province d’Asie, en 202, les saints Charalampe, Porphyre, Daucte et trois femmes, martyrs, dit-on, sous Septime Sévère.
3. À Rome sur la voie Labicane, au dixième mille de la ville, les saints martyrs Zotique et Amance.
4. À Terracine en Campanie, saint Silvain, évêque.
5. À Saintes en Aquitaine, vers 550, saint Trojan, évêque.
6*. À Besançon, vers 624, saint Prothade, évêque.
7. Au pays de Rouen, en 704, sainte Austreberte, vierge et abbesse, qui dirigea saintement le monastère de Pavilly, fondé peu auparavant par l’évêque saint Ouen.
8. À l’Étable-de-Rhodes sur le territoire de Sienne en Toscane, l’an 1157, saint Guillaume, ermite de Maleval, dont l’exemple a donné naissance à plusieurs congrégations d’ermites.
9*. À Fosses, alors dans le diocèse de Liège, en 1163, le bienheureux Hugues, abbé. Premier disciple de saint Norbert, celui-ci, devenu évêque de Magdebourg, lui confia la direction du nouvel Ordre de Prémontré, qu’il gouverna avec la plus grande sagesse pendant trente-cinq ans, avec plus de cent fondations en divers pays.
10*. À Rimini en Romagne, l’an 1257, la bienheureuse Claire, vierge, qui expia une vie de plaisirs par la pénitence, les macérations corporelles et les jeûnes. Rassemblant des compagnes dans un monastère, elle servit le Seigneur dans un esprit d’humilité.
11*. À Avrillé près d’Angers, en 1794, les bienheureux martyrs Pierre Frémond et cinq compagnes qui furent fusillés, sous la Révolution française, à cause de leur fidélité à l’Église catholique.
12*. À Valverde del Camino, près de Huelva en Andalousie, l’an 1935, la bienheureuse Eusébie Palomino Yenes, vierge, des Filles de Marie Auxiliatrice, qui donna un bel exemple d’humilité, sans la moindre recherche d’ostentation, à accomplir dans un esprit d’abnégation les plus infimes besognes.
13*. À Krasic, près de Zagreb en Croatie, l’an 1960, le bienheureux Louis Stépinac, évêque et martyr. Il s’opposa avec audace aux doctrines qui niaient la foi et la dignité humaine. À cause de sa fidélité à l’Église, il fut détenu longtemps en prison et, atteint de maladie et consumé d’inanition, il acheva un épiscopat de choix.
** Au Mexique, en 1928 les bienheureux Anacleto Conzales Flores et 8 compagnons, martyrs (béatifiés le 20 novembre 2005 par Benoît XVI)
V/ Précieuse aux yeux du Seigneur.
R/ Est la mort de Ses saints.
Oraison
Que sainte Marie et tous les saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions secours et salut de Celui qui vit et règne pour les siècles des siècles. Amen
Source: www.societaslaudis.org